Un coaching personnalisé
ALIMENTATION INTUITIVE – PLEINE CONSCIENCE – PNL (PROGRAMMATION NEURO-LINGUISTIQUE)
La méthode s’appuie sur l’Alimentation Intuitive (créé par deux nutritionnistes américaines Evelyne Trioble et Elyse Resch). En écoutant ses signaux de faim et de satiété, en déprogrammant les croyances et les conditionnements accumulés au fil des années, chacun possède la capacité de se réapproprier son corps et retrouver naturellement un poids de forme. (VOIR schéma de l’alimentation Intuitive).
J’utilise également la pleine conscience, qui est un outil précieux. On ne peut pas demander à une personne au régime depuis des années d’écouter ses signaux de faim et de satiété. Son corps ne lui fait plus aucun cadeau. La pleine conscience aide à réunir le corps et l’esprit.
La PNL, Programmation Neurolinguistique, permet une conduite du changement. Il est très important de détecter les besoins non comblés qui incitent à avoir tel ou tel comportement.


En quoi la méthode AK est-elle différente ?
La méthode Andorfine Kitchen est une méthode holistique qui prend en compte les besoins du corps et de l’esprit. En travaillant sur les causes on guérit les symptômes.

Les 10 principes de l’alimentation intuitive
- Rejeter la mentalité des régimes
- Honorer sa faim lorsqu’elle se présente
- Se permettre de manger tous les aliments souhaités
- Cesser de classer les aliments comme étant bons ou mauvais
- Faire confiance à ses sensations de satiété
- Découvrir la satisfaction et le plaisir de manger
- Gérer ses émotions autrement que par la nourriture
- Respecter son corps tel qu’il est au moment présent
- Pratiquer le sport pour le plaisir et non pour perdre du poids
- Honorer sa santé et son palais avec ses aliments préférés
Cercle vicieux des régimes
TOUT LE MONDE LE SAIT
- 95% des personnes qui ont perdu du poids grâce à un régime l’ont repris dans les 3 ans.
- Pourtant le marché des régimes n’a jamais été aussi florissant ! Les magazines savent parler aux clients et les attirent avec des titres accrocheurs : Perte de poids miracle ! « Objectif bikini »…
- Rien de tel pour culpabiliser.
- Plus vous allez frustrer votre corps, plus il va stocker en prévision d’une future « famine ».
- Si vous avez envie de manger du chocolat mieux vaut en manger plutôt que de lutter.

Exemples de cas concret
Je fais des crises d’hyperphagie pour combler un vide intérieur
Par exemple, une cliente est venue me voir pour des crises d’’hyperphagie.
Si nous n’avions travaillé que sur ses crises, je suis convaincue qu’elle en ferait encore aujourd’hui.
Nous avons approché sa problématique dans sa globalité. Ses crises étaient le reflet d’un mal-être dans sa vie, d’une frustration au travail, d’un manque de confiance en elle qui la poussait à s’écraser et encaisser constamment.
En bossant sur les « satellites » nous avons réussi à éloigner les crises, puis à les faire disparaitre à 100%. Aujourd’hui elle a osé prendre sa vie en main, osé quitter sa ville natale pour prendre son envol, osé changer de boulot, osé dire NON quand elle en ressentait le besoin.
C’est sa frustration qui la poussait à manger par compulsion.
J’ai peur d’avoir faim
Un homme de 35 ans, qui d’apparence a tout pour être heureux, une femme, 4 enfants, une jolie maison, une vie amicale remplie, un métier dans lequel il excelle. Pourtant il a 20 kilos à perdre. Il mange selon lui sainement mais dit m’avoue qu’il a tout le temps peur d’avoir faim.
Nous nous sommes rendus compte qu’il avait une croyance très ancrée en lui, s’il ne mange pas jusqu’à être totalement rempli il aura faim et cette idée lui est insupportable. Cette peur d’avoir faim le poussait à manger deux fois plus que ses véritables besoins. Quand il commandait son déjeuner chez Deliveroo, il commande deux plats…
En travaillant sur cette peur, il a sans aucun régime perdu plus de 20 kilos. La méditation en pleine conscience lui a permis de se réapproprier son corps, de diminuer ses appréhensions. De réapprendre à détecter, puis écouter ses signaux de faim et de satiété. Aujourd’hui, il ne stress plus à l’idée d’avoir faim. Il arrive à écouter ses envies, qui sont devenus dans la plupart des cas les mêmes que ses besoins.
Envie et besoins ne font plus qu’un.
J’ai tout le temps faim
Apprendre à distinguer une vraie faim d’une fausse faim lui a permis de perdre progressivement les kilos qu’elle avait en trop. On grossit lorsque l’on mange au-delà de sa satiété, et quand on mange quand on n’a pas une vraie faim biologique.
Elle avait également tendance à projeter d’avoir faim. Elle me racontait que le souvent elle avait une réunion pendant le déjeuner de 11H30 à 13h30.
L’idée même d’avoir faim pendant la réunion lui était désagréable. Elle avait pris l’habitude de déjeuner à 11h00 (alors qu’elle n’avait pas faim), pour s’assurer que la faim de la dérangerait pas pendant sa réunion. Résultat, elle donnait du carburant à son corps au mauvais moment et cumulait des kilos inutilement. Elle a appris à se faire confiance, en prenant un petit encas avant elle n’a plus eu faim en réunion.

Quand envie et besoin ne font qu’un !
Quand je vois des clients et que je leur dis qu’aucun aliment n’est interdit, et que l’on peut perdre du poids en mangeant du chocolat ils me regardent souvent d’un air interloqué.
« Mais je vais grossir si j’ai le droit de manger du chocolat, car je ne saurais pas m’arrêter ! ».
« Si j’achète du Nutella, je serai incapable de ne pas finir le pot !!! ».
Le problème est que plus on met sur un piédestal un aliment, plus on le considère comme interdit, et ce qui est interdit créer le désir !
La meilleure façon est de se donner l’autorisation. Si je me donne l’autorisation de manger deux carrés de chocolat aujourd’hui, je n’aurais pas envie, ni besoin de finir la plaquette, car je sais que je pourrais encore en manger demain.
Il n’y a plus d’interdit, donc le désir du chocolat ne s’est pas transformé en obsession. La théorie du foutu pour foutu ne tient plus ! Je n’ai plus besoin de terminer la plaquette.
Les premiers jours, les envies ne seront pas en adéquation avec les véritables besoins du corps. Si je me suis privée de bonbon pendant des années et qu’on me dit que j’ai le droit d’en prendre, alors je vais me jeter dessus le premier jour. Continuer le deuxième jour, en prendre déjà un peu moins le troisième jour, je vais valider que j’ai la permission d’en manger. Mais au bout de quelque jour, j’aurai moins d’intérêt à en manger, il y a même des jours ou je n’aurai pas envie d’en manger.
L’envie correspondra au besoin de mon corps.